
LE NOIR DE L’ENCRE
Mes automates. Homme-machine, bienfait-malédiction, libération-asservissement : le noir de l’encre amène à approfondir ces dualités. Des impressions assemblant techniques et encres noires sur le papier blanc témoignent de mes tentatives pour donner forme et vie à un futur possible. Le substrat, au lieu de métal, est de papier. L’encre fusionne les matériaux entre eux et les anime. Le noir porte le poids de la peur et de l’espoir.